Vendredi 14 février 5 14 /02 /Fév 09:45

 

 

 

J’avais une très bonne copine, Anne, qui passait beaucoup de temps chez nous car issue d’une famille nombreuse, elle ressentait un manque d’espace vital et d’intimité à l’intérieur du modeste appartement de ses parents.

Ma chambre était suffisamment grande pour accueillir deux jeunes filles en pleine crise d’ado et mes parents, n’étaient vraiment pas du genre « collants ». 

Bref, on avait une paix royale d’autant que mon jeune frère passait le plus clair de son temps dehors avec ses copains. 

 

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Nous n’avions pas l’habitude de nous allonger ensemble dans mon lit cette fois ci ce fut le cas.

 

 Je ressentis un choc lorsque je la vis en train de s'allonger en écartant négligemment les cuisses.

 


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Elle ne portait pas de culotte. 

 Le léger duvet de blonde qui commençait à pousser sur son bas ventre, ne pouvait m’empêcher de remarquer ses grandes lèvres, extrêmement développées débordant de son sexe. 

 Je n’arrivais pas à en détacher mon regard tant le spectacle me paraissant irrésistible.


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Anne, s’apercevant de l’intérêt que je portais à sa chatte s’approcha de moi et me demanda:  Tu peux me caresser s’il te plaît?



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Je ne sais pas pourquoi mais au bout de quelques secondes de stupéfaction, je posais ma main directement sur le sexe offert pour un premier contact des plus troublants.

 


 

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J’étais tellement émue que mon cœur cognait si fort que j’avais l’impression qu’il allait sortir de ma poitrine. 

 La tête en feu, je levais les yeux vers mon amie qui, le plus naturellement du monde, comme si mon geste était des plus naturels, m’adressait le plus tendre de ses sourires.


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Ce faisant, elle ouvrit immédiatement un peu plus la fourche de ses jambes, m’invitant implicitement à continuer mon exploration.


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Sans réfléchir (j’en étais d’ailleurs bien incapable à ce moment précis), je laissais mes doigts caresser doucement ces lèvres si attirantes, lesquelles me semblaient tout à coup plus épaisses, plus rouges et surtout, emprunt d’une humidité que je connaissais bien.


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C’était sûr, Anne laissait l’excitation l’envahir. Elle ne faisait rien pour m’empêcher de faire naître en elle, les prémices du plaisir. En passant mes doigts doucement entre ses lèvres, je sentais déjà ses sécrétions sur le bout de mes doigts. 


L’instant était magique, aucune parole, le silence presque total si l’o0-copie-193.jpgn faisait abstraction du bruit provoqué par notre respiration désordonnée.

  


Je levais une nouvelle fois les yeux vers Anne pour chercher une quelconque désapprobation à ce je faisais.

 

Mais celle-ci, les yeux maintenant fermés, la tête en arrière, à demi redressée,une de ses mains appuyés sur le drap  pour éviter de perdre l’équilibre, s’abandonnait complètement à mes doigts, lesquels cherchaient plus bas, l'entrée de sa petite chatte si appétissante puis remontaient vers le bouton qu'ils cherchaient à décalotter en le faisant grossir et durcir rapidement.

 

 

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Je me laissais tomber contre elle, subjuguée par cette fente que je découvrais pour la 1ère fois.

 

Son odeur intime supplantait toute celles je j'avais connue jusqu'alors. Elle m'envahissait les narines, remontant jusqu'à mon cerveau pour en prendre le contrôle. Je m'approchais jusqu'à poser mon nez sur son pubis, humant cette odeur enivrante quand, en posant sa main dans mes cheveux, elle me souffla:

 
Mange moi. Tu m'excites Angie. Dévore ma petite chatte ou je vais hurler, j'te jure, je vais hurler.


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Je n'attendais que çà. J'avais une folle envie d'embrasser ses lèvres dont la grosseur et l'épaisseur me fascinaient. 

 Je passais une langue avide dans la fente déjà bien humide, doucement sans trop m'y enfoncer puis plus en profondeur. C'était doux, chaud, tendre. 

 Je posais mes lèvres pour aspirer ses chairs et les prendre en bouche. 

Tu vas me faire mourir. C'est trop bon. N'arrêtes pas. Angie, n'arrêtes pas. Ouiiiiiiiiiiiiiii.


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Ça m'excitait qu'elle me parle comme çà. C'était la 1ère fois que nous faisions çà toutes les deux. 

Je sentis enfin, son bouton palpiter sous ma langue. Il était tout dur, gros, long, complètement sorti de sa cachette. Je l'aspirais entre mes lèvres, déclenchant immédiatement de véritables plaintes de mon amie. 


C'est pas bon?

  
Oh si, oh si que c'est bon. Je vais jouir ma chérie, tu vas me faire jouir.


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Je l'aspirais de plus belle, tétant avec délice sa petite bite d'amour. Lui arrachant des cris qu'elle essayait d'étouffer en mordant à pleines dents dans la paume de sa main. 

 Quand je sentis ses doigts se crisper dans mes cheveux et ses jambes se mettre vaciller, je sus qu'elle allait jouir. J'accélérais mes petits coups de langue rapides avant de la sucer tendrement pour l'accompagner jusqu'au bout de son plaisir. 


Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je jouis. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis Angie. C'est...... c'est trop bonnnnnnnnnnnnnnnn.  


Je suçais son bouton doucement sans pouvoir la regarder jouir de tous ses membres. J'essayais néanmoins de lever mes yeux vers elle pour me repaître de cette image de mon amie, tremblante, tenant difficilement sur ses jambes, en train d'orgasmer de mes oeuvres.0-copie-195.jpg

  


Sans que je m'en rende compte, une de mes mains s'était faufilée jusqu'à ma fente et, rapidement, avait trouvé mon clitoris pour le pincer tendrement et m'amener à mon tour à un orgasme libérateur.

 

 

 

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah. 


Je poussais un long et puissant râle de bonheur, indiquant à ma partenaire que moi aussi, je perdais pied, sombrant avec délices dans les méandres du plaisir. 

 Le nez sur sa petite chatte, respirant à pleins poumons les effluves de son plaisir.


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Nous devions avoir l'air bêtes dans cette position. Moi assise à ses pieds, la tête prostrée sur son ventre. Elle debout sur le lit, contre le mur,, une main dans mes cheveux, l'autre collée au mur pour ne pas se laisser choir et pourtant nous étions merveilleusement bien, parfaitement détendues après l'explosion qui nous avait secouées. 


Merci Angie. Merci.
 

Je trouvais enfin la force de me relever pour me blottir entre ses bras tendrement tendus vers moi. Un incroyable moment de tendresse nous unissait pour toujours. Plus rien ne serait jamais comme avant entre nous.

 

 


Par sexeavecjeunefille - Publié dans : Sexe entre filles
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