Vendredi 28 mars 5 28 /03 /Mars 08:30

 

 

 

Tout a commencé un soir d'été ; une fête entre voisins où l’on dansait, buvait, toutes générations confondues.


 
Une fête banale, en somme... s’il n'y avait eu un "je ne sais quoi" d'électrique dans l'air. Le temps orageux ? La sangria ? Les tenues un peu légères de certaines femmes ?

Je ne saurais le dire... 


 

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Toujours est-il qu'il y avait des regards appuyés, des rires un peu plus hauts que d'ordinaire... Plus de slows, aussi.

Ah, quelle bonne invention que le slow !

Cette danse (?) permettait de se frotter, de bander discrètement... et sûrement aux filles de mouiller leur petite culotte tout aussi discrètement.


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Dans cette soirée donc, je bus et dansai beaucoup : avec les filles de ma bande de copains ou avec leurs mères, ou encore avec les voisines.

Des slows plus ou moins collés, plus ou moins agréables en fonction de la cavalière.

Je ne regardais pas spécialement Manon, ma soeur ; je la croisais de temps en temps. Elle aussi dansait et buvait. 

 

 

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Ah si : j 'avais remarqué un slow pendant lequel elle me paraissait très collée à Pierre, notre voisin d'en face !

Je m'étais fait la réflexion qu’il ne devait pas s'embêter, le salaud, à sentir les gros nichons de ma seurette pressés contre son torse...

 

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À un moment, nous devions changer de cavalière et je me retrouvai dansant avec ma soeur.

 
Elle s'est accrochée à mon cou avec un grand sourire en collant son bassin contre le mien...

 

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Et je dois dire que la réaction ne s'est pas fait attendre : une "trique" énorme !

Ben oui… frangine ou pas frangine, quand on a 40 ans et qu'une femelle de 18 ans se colle à vous, eh bien... on bande !

En tout cas, moi, j'ai bandé.

Cela n'a pas gêné Manon qui a continué à se tenir serrée contre moi jusqu'à la fin du slow en profitant de la pénombre.


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Vers 3h du matin, nous sommes rentrés chez nous à pied ; d'abord en groupe puis seuls, tous les deux, pour la dernière partie du trajet.

Une nuit sans lune, dans un chemin de campagne en ayant un peu – euh... beaucoup – bu.

Je crois que c'est ma soeur qui m'a demandé d'abord de lui donner la main pour la guider et l'empêcher de tomber... 

 

 

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Cela ne l'a pas empêchée de trébucher juste en arrivant chez nous dans le salon.

Je l'ai rattrapée par la taille et nous nous sommes retrouvés face à face, ses mains sur mes épaules et les miennes autour de sa taille...

D'un mouvement quasi-instinctif, je l'ai serrée contre moi et mes mains ont caressé ses fesses au-dessus de sa robe.

 

 

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Elle a mis quelque temps à comprendre et à réagir.

– Mais... Mais qu'est-ce que tu fais ?

 

 

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Elle le savait bien, ce que je faisais : je pelotais son cul.

Mais c'était trop tard : plus rien ne pouvait m'arrêter.

Excité par cette soirée, excité d'avoir bandé sans arrêt, ma queue réclamait une chatte pour se soulager ; et cette chatte, c'était celle de ma petite soeur.

 

 

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Je n'ai pas pris la peine de lui répondre. Mes mains ont répondu pour moi : ma main droite est allée explorer sa poitrine.

 
– Mais tu es fou... Arrête !

 

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Toujours pas de réponse. Rien à lui dire. Juste me vider les couilles et la baiser.

 

 

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Pauvre petite soeur qui essayait de se débattre et de se dégager...

Pas évident, en tenant à peine debout, et de plus contre un gaillard plus grand qu’elle !

En essayant de se dégager, elle manqua de tomber... et se rattrapa à moi.

Pendant ce temps, mes mains étaient devenues de plus en plus curieuses : elles s’étaient glissées sous la robe et je lui caressais les cuisses...

 

 

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– Non ! Non ! Pas ça... Pas ça...

- Tiens ! Elle avait compris où je voulais en venir ?

Et, étrangement, elle parla à voix basse ; elle ne cria pas. Elle n'appella pas au secours alors qu’il y avait nos parents à l'étage ...

Non... Pas ça... C'est de l’inceste !

 

 

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Elle pensait peut-être que le mot allait me faire peur... Mais rien ne pouvait me faire peur, à ce moment-là...

Je glissai un doigt sur son slip... et je sentis que c'était humide.

Et là, je compris que j'avais gagné : la jeune femelle était trempée... et avait envie de se faire baiser.




 

 

Par sexeavecjeunefille - Publié dans : Sexe inceste
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